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Sandra Fassio

Sandra Fassio

Réalisatrice, scénariste, monteuse image, scripte


  • Province de résidence : Bruxelles (ville de résidence : Saint-Gilles)
  • Genres : Fiction, Série
  • Interventions dans les niveaux d'enseignement : Maternel, Primaire, Secondaire inférieur (Français, Art et expression, Cinéma, Communication, Projet citoyen), Secondaire supérieur (Français, Art et expression, Cinéma, Communication, Projet citoyen)
  • Interventions proposées : Rencontre (1 heure), Accompagnement d'un projet (plusieurs heures réparties durant l'année scolaire)

Après un baccalauréat option audiovisuelle, Sandra Fassio a suivi des études de montage-scripte à l'IAD. Elle a exercé en tant que monteuse et scripte dans le cinéma et à la télévision tout en écrivant et réalisant des projets personnels. Elle a réalisé deux courts métrage et est en production de son premier long métrage, Lidhjet, un film noir sur le rôle des femmes dans la mafia albanaise et la transmission de la violence.

Sandra Fassio - Filmographie sélective

2018 : La Mazda Jaune et Sa Sainteté (documentaire - 11 min)

Montage image

Le film commence par une image noire, une expérience conceptuelle qui se transforme en un essai personnel et subtil de la réalisatrice. Ce court métrage raconte l’histoire d’un missionnaire tombé amoureux d’une fille rwandaise, se métamorphosant petite à petit en une réflexion personnelle mise en images par leur fille.

Voir La Mazda Jaune et Sa Sainteté sur Laplateforme.be

 

2015 : Kanun (fiction - 27 min)

Réalisation, scénario

Kanun : code albanais ancestral, impitoyable. L’article 864 dit : Tu vengeras la mort d’un membre de la famille par la mort de l’assassin.

Mais l’article 602 impose de respecter et protéger son invité comme son propre enfant. Et ce soir, Adil a accepté d’héberger Johan, un de ses hommes de main, alors que son fils aîné n’est pas encore rentré à la maison.

 

 

2012 : I Rafi (fiction - 14 min)

Réalisation, scénario

A Bruxelles, Anna coud les costumes de Nicolas depuis des années. Là, ils parlent grec, en souvenir du pays qu’ils ont dû fuir à l’époque de la dictature des colonels.