Le jour où Dieu est parti en voyage

Sortie ce 5 mai sur les écrans belges


Prix Découverte (Festival International du film francophone de Namur) - Meilleure première oeuvre (Festival International du film de San Sebastian) - Prix de la meilleure actrice (Festival International de Thessalonique) - Grand Prix & Prix de la meilleure actrice (Festival International du Film de Bratislava) - Prix spécial du jury (Festival des droits de l'Homme, Istanbul).


Bref, c’est un film aux multiples victoires qui sort, ce mercredi dans les salles.

Mais ce n’est pas la raison principale pour laquelle il faut aller découvrir ce film, mais pour sa puissance. Rendre la parole aux survivants du génocide rwandais n’est pas un thème des plus simples à traiter. Philippe Van Leeuw y a très bien réussi.

« Le Jour où Dieu est parti en voyage » est un film puissant, parce qu’il à des choses à dire et que les images sont le meilleur moyen de faire passer les messages. Attention, il ne s’agit pas pour le réalisateur de tomber dans le mélodrame mais de traiter de la manière la plus juste les thèmes comme la vie, la mort, la souffrance.

Avril 1994 - Rwanda. Aux premiers jours du génocide, les occidentaux fuient le pays. Avant d’être évacuée, une famille belge cache la jeune nourrice des enfants, Jacqueline, dans le faux plafond de leur maison. Malgré la terreur, Jacqueline sort de sa cachette pour rejoindre ses enfants restés seuls. La jeune mère découvre leurs corps sans vie parmi les cadavres. Chassée de son village, traquée comme une bête, elle se réfugie dans la forêt.


Site du film
: http://www.rwandalejouroudieuestpartienvoyage-lefilm.com